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Le Salon romantique au Château Chanorier à Croissy sur Seine : un lieu unique, dédié aux pianos de facture française de la première moitié du XIXe siècle. Des concerts, des masterclasses et des conférences y sont régulièrement organisés avec de grands interprètes et de jeunes talents passionnés par la sonorité romantique de ces pianos. Si vous aimez la musique et rencontrer des musiciens, rejoignez- nous !

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FÊTES ROMANTIQUES DE CROISSY

Mercredi 12 novembre à 20H30

à l'Auditorium Chanorier - 12 Grande rue - 78290 Croissy sur Seine

Concert de clôture

Héritage du romantisme

par la soprano Marie-Laure Garnier et la pianiste Celia Oneto Bensaid

- "Gretchen am Spinnrad" et "Romanze" de Franz Schubert

- "Schmerzen" et "Traüme" (extraits des Wesendonck Lieder) de Richard Wagner

- Trois extraits de "Ce qu’on entend dans l’Enfer, le Purgatoire et le Paradis" pour piano solo, de Marie Jaëll

-  "Dans l'immense tristesse", de Lili Boulanger

- "Soupir", "Romance de Mignon" et "Chanson triste" de Henri Duparc

- "Les jours pluvieux" pour piano solo, de Marie Jaëll

- "Extase" et "L'invitation au voyage" de Henri Duparc

(Piano Pleyel 1844)

 

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Héritage du romantisme

Si le concert d'ouverture de ces Fêtes Romantiques de Croissy consacré au "Piano au temps de Chopin" met en avant le violoncelle, l'instrument qui se rapproche le plus de la voix humaine, ce concert de clôture est consacré, lui, principalement à la voix chantée, celle de Marie-Laure Garnier.

En duo avec Célia Oneta Bensaid, elles interpréteront une série d'airs et de pièces pour piano allant du premier des grands romantiques, Franz Schubert, à ses successeurs célèbres tel Richard Wagner, avec deux de ses plus émouvants Lieder inspirés par Mathilde Wesendonck, ou Marie Jaëll, qui fut l'une des élèves de Liszt les plus remarquables, à la fois comme pianiste et comme compositrice, et dont la musique reste à découvrir. 

En complément, elles nous offriront une mélodie de Lili Boulanger, une autre compositrice à (re)découvrir et plusieurs mélodies de Henri Duparc qui, sans être exactement un "romantique" bien qu'il soit né en 1848 et ait eu pour professeur de piano un certain César Franck, n'en est pas moins un passeur de sentiments exceptionnel.

Marie-Laure GARNIER, soprano

Révélation lyrique de l’année 2021 aux Victoires de la musique classique, Marie-Laure Garnier émerveille et laisse une empreinte indélébile dans le cœur de son auditoire avec sa voix puissante et expressive.

Et ce n’est pas uniquement sa voix qui fait d’elle une artiste inoubliable. Sa personnalité chaleureuse et sa capacité à communiquer avec le public font d’elle une ambassadrice de l’émotion et de la beauté. Chaque note est un voyage envoûtant dans son univers musical, où les émotions se mêlent et où la magie opère.

Marie-Laure Garnier possède une polyvalence artistique qui ne connaît aucune limite. De l’opéra aux récitals intimistes, son répertoire est si varié qu’elle navigue en toute occasion avec grâce et élégance. Sa voix est un instrument d’exception, capable de donner vie aux chefs-d’œuvre du répertoire avec aisance.

Son parcours impressionnant, jalonné de succès et de reconnaissances, témoigne de son talent indéniable et de sa détermination à transcender son art. En effet, c’est en Guyane que Marie-Laure, très jeune, débute son parcours artistique. A l’âge de 14 ans, elle s’envole vers Paris pour faire de sa passion son métier. En 2009, elle intègre la classe de chant lyrique de Malcolm Walker au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. Après un brillant Prix de chant, elle obtient un Diplôme d’Artiste Interprète ainsi qu’un Master de Musique de Chambre.

Marie-Laure Garnier, nommée Révélation lyrique ADAMI en 2013, est lauréate de l’Académie Orsay-Royaumont et du Festival lyrique d’Aix-en-Provence. Elle remporte le Second prix au Concours International de chant de Mâcon en 2014 et le Premier Prix au Concours Cziffra en 2015. Au Concours Nadia et Lili Boulanger 2017, la soprano remporte le Prix de la Mélodie Française en duo avec la pianiste Célia Oneto Bensaid. En 2019, elle se distingue au prestigieux Concours Voix des Outremer et remporte le Grand Prix. Elle se voit décernée le prix Révélation Musicale de l’année par le Syndicat de la Critique en 2022.

La soprano au tempérament chaleureux est invitée à se produire sur les scènes les plus prestigieuses telles que le Théâtre des Champs Élysées, la Philharmonie de Paris, le Capitole de Toulouse, les Opéra de Versailles, Bordeaux, Rouen, Quimper, le Festival de La Chaise Dieu, le Festival Pablo Casals et bien d’autres. Elle fait une apparition très remarquée lors du Grand concert de Paris, le 14 juillet dernier aux pieds de la Tour Eiffel. Par ailleurs, l’artiste rayonne sur les scènes internationales comme Oxford Lieder Festival, l’Auditorium Reina Sofia à Madrid, la Salle Bourgie de Montréal, le Wigmore Hall de Londres, l’Orangerie du Manoir de Skebo en Suède, la SchumannHauss en Allemagne, ou encore au Théâtre du Bolchoi à Moscou ou au Théâtre National de Santo-Domingo.

Marie-Laure Garnier s’était déjà distinguée dans le rôle haut en couleurs de La Cantatrice dans Reigen de Philippe Boesmans. Et c’est au Théâtre du Capitole de Toulouse qu’elle fait réellement ses débuts ; elle incarne tour à tour les rôles de Gerhilde (Die Walküre, Wagner), Ygraine (Ariane et Barbe bleue, Dukas), la Cinquième servante (Elektra, Strauss), Junon (Platée, Rameau). La soprano a fait forte impression dans les rôles du Chœur Féminin (Le Viol de Lucrèce, Britten), de Geneviève (Pelléas et Mélisande, Debussy), de Damielle (Les Ailes du désir, Othman Louati), Carmen (Bizet), Vénus (Orphée aux enfers, Offenbach) et Tosca (Puccini).

Célia ONETO BENSAID, pianiste

La presse suit depuis quelques années l’évolution de cette « pianiste engagée aux doigts d’or et à la technique irréprochable » (LexNews), dont « la sensibilité n’a d’égale que la maîtrise (Télérama) et incarnant l’électron libre de la relève pianistique française » selon les Échos.

Célia Oneto Bensaid sort du CNSM de Paris avec cinq prix brillamment obtenus dans les classes de piano, de musique de chambre ainsi que les trois classes d’accompagnement. Elle rejoint ensuite l’École Normale de Musique A. Cortot où elle obtient le diplôme supérieur de concertiste. Ce sont les conseils de C. Désert, B. Engerer, J-C Pennetier ou R. Shereshevskaya qui l’ont particulièrement inspirée et enrichie.

C’est aujourd’hui sur les plus grandes scènes, en solo, en musique de chambre et en concerto, que Célia choisit avec soin les répertoires qu’elle défend : elle fait notamment partie des artistes les plus engagés dans la redécouverte du matrimoine musical. Artiste Yamaha, lauréate Banque Populaire, Célia se distingue dans de nombreux concours internationaux (Piano Campus, Fondation Cziffra, concours Nadia et Lili Boulanger, Pro Musicis, Prix HSBC du festival d’Aix-en-Provence etc.), et reçoit le prix du public de la Société des Arts de Genève en 2017.

Récemment on l’a retrouvée accompagnée des orchestres d’Avignon-Provence (D. Waldman), de Bretagne (A. Azan Zielinski), de l’opéra de Toulon (L. Leguay). En récital et en musique de chambre, elle a été l’invitée de la Philharmonie de Paris, du Théâtre des Champs-Elysées, du Festival international de piano de La Roque d’Anthéron, de Nouveaux Horizons, de l’Esprit du Piano, de la Folle Journée de Nantes, du Grand Théâtre de Harbin (Chine), du Salamanca Hall (Japon), de la Salle Bourgie, du Wigmore Hall…

Chambriste passionnée, elle joue notamment avec Raphaëlle Moreau depuis 2012.

Côté disques, déjà au nombre d’une dizaine, ils illustrent son attachement à ses répertoires de prédilection et ont été largement remarqués par la presse (TTTT Télérama, 5 étoiles Classica, choix du Monde etc.).

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